
Créée par des adhérents issus de partis politiques divers d’Alfortville, « Alfortville Démocratie » est une association qui a pour but d’enrichir le débat public par des réflexions et des propositions inspirées par notre idéal républicain de Liberté, d’Egalité, de Fraternité. Le principe de la Laïcité, loi de 1905, est notre règle, c’est l’assurance du bien vivre ensemble la diversité partagée dans notre pays.
lundi, octobre 18, 2010
Monsieur le Député - Maire prenez les choses en main.
Alouettes, Alouettes.. Les locataires sont dans la mouise!
le Parisien du Val de Marne 18 10 2010

jeudi, octobre 14, 2010
Suggestion à Monsieur le Député Maire d'Alfortville; propreté de la ville.
Propreté de la Ville.
Basta les crottes de chiens.
Aux grands maux, les grands remèdes.
Chennevières l'a fait, nous l'attendons à Alfortville.

le Parisien
Basta les crottes de chiens.
Aux grands maux, les grands remèdes.
Chennevières l'a fait, nous l'attendons à Alfortville.

le Parisien
mardi, octobre 12, 2010
La mobilisation a atteint un sommet ce mardi :entre 1.3 et 3.5 millions de personnes dans les rues

"Au bout de ce qui est possible»
Les cortèges étaient remplis partout. Record de mobilisation à Toulouse, à Marseille, ou à Paris. Lycéens et étudiants s’y sont mis aussi. Pas toujours très nombreux (8% de lycées touchés), mais avec un talent indéniable pour enflammer les cortèges. Ainsi Sacha, mégaphone autour du cou, harangue ses copains du haut d’un abribus. «Les lycéens savent que la réforme des retraites augmente le chômage des jeunes. Ça va continuer à monter !» Et l’inquiétude augmente avec l’âge. Thérèse, 70 ans, «ne comprend pas» pourquoi Nicolas Sarkozy «s’obstine.»
Ce mardi, le Président ne s’est pas exprimé. Mais Eric Woerth et François Fillon sont montés au front. Le ministre du Travail est persuadé que «le gouvernement n’a pas perdu la bataille de l’opinion.», tandis que locataire de Matignon assure qu’«on est au bout de ce qui est possible» sur les négociations. Les syndicats, eux, se sentent en position de force. Ils renvoient le président à ses responsabilités, puisque «toutes les concessions sont toujours venues de lui», rappelle la CFDT. Reste à voir si cette journée l’aura convaincu de reculer.
Gilles Wallon - 20minutes
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