Il y a quarante ans, le 9 novembre 1970, disparaissait le général Charles de Gaulle, l'homme de l'appel du 18 juin 1940 à la résistance contre l'occupant nazi, qui laissait ainsi "la France veuve" selon les mots de son successeur Georges Pompidou.
Le groupe UMP de l'Assemblée nationale et celui du Sénat renouent cette année avec le pèlerinage sur la tombe de Colombey-les-deux-Eglises (Haute-Marne), tradition abandonnée depuis 1999 à la demande de la famille.
La question de l'héritage divise cependant la droite.
Pour Bernard Accoyer (UMP), le président de l'Assemblée, les idées du général de Gaulle "sont toujours d'actualité".
"Car le gaullisme se résume en deux expressions : la place de l'homme, qui doit prévaloir constamment, et le rang de la France, pas seulement sa puissance mais aussi sa générosité, l'équilibre de ses positions internationales, sociales, économiques", a-t-il déclaré .
Pour le président de l'Assemblée, personne aujourd'hui n'incarne les idées de l'homme de l'appel de Londres.Beaucoup aujourd'hui voudraient se prévaloir de son héritage".
"Le général, c'était tout sauf la politique politicienne et aujourd'hui beaucoup de ceux qui vont commémorer avec trompettes et décorum l'anniversaire de sa mort seront ceux qui se sont le plus éloignés de ses principes".
Né le 22 novembre 1890 à Lille, dans le Nord, le général de Gaulle, chef de la France libre face à l'occupation allemande et au régime de Vichy, président du gouvernement provisoire de la France à la Libération, dernier président du Conseil de la IVe République, fondateur de la Ve dont il fut le premier président de 1959 à 1969, est décédé le 9 novembre 1970 Colombey-les-deux-Eglises.
"En 1940, de Gaulle a sauvé l'honneur, en 1944 il nous a conduit à la libération et à la victoire. En 1958, il nous a épargné la guerre civile. Il a donné à la France actuelle ses institutions, son indépendance, sa place dans le monde."
Le groupe UMP de l'Assemblée nationale et celui du Sénat renouent cette année avec le pèlerinage sur la tombe de Colombey-les-deux-Eglises (Haute-Marne), tradition abandonnée depuis 1999 à la demande de la famille.
La question de l'héritage divise cependant la droite.
Pour Bernard Accoyer (UMP), le président de l'Assemblée, les idées du général de Gaulle "sont toujours d'actualité".
"Car le gaullisme se résume en deux expressions : la place de l'homme, qui doit prévaloir constamment, et le rang de la France, pas seulement sa puissance mais aussi sa générosité, l'équilibre de ses positions internationales, sociales, économiques", a-t-il déclaré .
Pour le président de l'Assemblée, personne aujourd'hui n'incarne les idées de l'homme de l'appel de Londres.Beaucoup aujourd'hui voudraient se prévaloir de son héritage".
"Le général, c'était tout sauf la politique politicienne et aujourd'hui beaucoup de ceux qui vont commémorer avec trompettes et décorum l'anniversaire de sa mort seront ceux qui se sont le plus éloignés de ses principes".
Né le 22 novembre 1890 à Lille, dans le Nord, le général de Gaulle, chef de la France libre face à l'occupation allemande et au régime de Vichy, président du gouvernement provisoire de la France à la Libération, dernier président du Conseil de la IVe République, fondateur de la Ve dont il fut le premier président de 1959 à 1969, est décédé le 9 novembre 1970 Colombey-les-deux-Eglises.
"En 1940, de Gaulle a sauvé l'honneur, en 1944 il nous a conduit à la libération et à la victoire. En 1958, il nous a épargné la guerre civile. Il a donné à la France actuelle ses institutions, son indépendance, sa place dans le monde."
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