La grève du 19 mars, contre la réforme scolaire, a mis en lumière des dysfonctionnements locaux, entrainant une fois encore plusieurs écoles fermées.
Depuis 2008, la loi 2008-790 oblige les communes à assurer l’accueil des enfants dès que la grève atteint 25% d’enseignants. En échange, l’Etat prévoit une compensation financière et une organisation souple avec choix des personnels, des locaux, d'une association éventuelle avec une autre commune. Réponse de la mairie : nous n’avons pas le personnel !
Organiser un plan B dépasse la municipalité, par contre imposer une grève au personnel sans se soucier de la gêne causée aux administrés, elle a su le faire en 2018.
De simples mesures peuvent être
prises sans opposer les citoyens entre eux : un plan de formation au sein de la commune pourrait s’envisager sur la
base du volontariat pour anticiper d’autres grèves (car il y en aura d’autres).
Enfin, rien n’empêche que le marché qui lie la commune au prestataire du
périscolaire s’enrichisse d’un avenant
pour lui confier cette mission !
#AlfortvilleSeFaitBelle grâce à
l’opposition qui propose ?
Cédric Tartaud-Gineste, Brigitte Cauvin, Michael Bullara
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